Par Mois

                                                      

3 MAI 2002 : LE STADE DE REIMS RETROUVE L'ÉLITE

SOUVENIRS

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STADE DE REIMS - BESANCON : 3-1      

Vendredi 17 mai 2002 - 38e journée - Arbitre central : Jean-Charles Cailleux   

Ludovic PALLIER (9e) - David FRANCOIS (75e) - Jérémy DENQUIN (85e)

 

   Photo Rouge & Blanc

 

Que sa volonté soit fête !

Samedi soir, la fête était certes sur le terrain mais aussi dans les rues de Reims et devant la mairie où plusieurs milliers de personnes se sont rendues, après 23 heures, pour rendre un ultime hommage au groupe qui a permis l'accession à la D2.

Seul bémol dans cette soirée, la bronca qui a présidé à l'apparition de Jean-Louis Schneiter au balcon de l'Hôtel de Ville. Le maire de Reims a eu toute les peines à se faire entendre face à une foule qui le tient pour responsable de la lenteur des travaux de reconstruction de Delaune et de l'absence d'infrastructures d'entraînement pour le club. Jean-Louis Schneiter, qui avait tenu à recevoir les joueurs et le staff rémois dès après la rencontre, a néanmoins assuré "qu'il avait désormais la volonté de mettre tout en oeuvre pour permettre au Stade de Reims de retrouver son rang en D2... et au-delà".

 

 

 

         ANGOULÊME - STADE DE REIMS : 1-0   

Vendredi 10 mai 2002 - 37e journée -  Arbitre central : Michel BONNICHON

But d'Alban GABORIT (74e)

Pour l'honneur

Angoulême, un club qui a grandi trop vite

 

Victoire pour l'honneur d'Angoulême dans un match animé qui aurait indifféremment pu basculer en faveur de l'une ou l'autre équipe. Les Charentais se sont imposés à la 74e sur un but d'Alban Gaborit, à la réception d'un centre d'Aboulaye. Le milieu de terrain de l'ASAC n'a eu qu'à pousser le ballon au fond des cages désertées par Hubert Charpentier, le gardien de fortune des Rémois. Les Angoumoisins auraient d'ailleurs pu doubler la mise quelques minutes plus tard, sur une pichenette de Sarr qui a pris à contre-pied le gardien rémois. Il aura fallu un retour en catastrophe de Franck Mazuel pour éviter le pire, le "vieux grognard" rémois parvenant à dégager le ballon sur la ligne de but.

Pour autant, si l'ultime rempart rémois a failli, le reste du groupe s'est plutôt bien comporté en Charente, prenant le plus souvent le jeu à son compte. Les Stadistes auraient même pu ouvrir le score en début de seconde période, sur une action initiée par l'opportuniste Gaston Diamé. Profitant d'une mésentente dans la défense angoumoisine, le numéro 9 rémois récupère un ballon brûlant aux abords de la surface et sert idéalement David François, qui n'ose prendre sa chance et transmet à Christophe Laurent. Mais le milieu défensif rémois manque le cadre.

En toute fin de rencontre, les Stadistes ont également eu par deux fois la balle d'égalisation au bout du pied. Par Diamé, tout d'abord, qui a perdu un face à face contre le gardien angoumoisin, puis par Denquin.

En final, ce score purement anecdotique ne changera en rien la position d'Angoulême, condamné à refaire ses preuves en National la saison prochaine. En revanche, la lutte sera âpre lors de la dernière journée puisque Cannes reçoit Valence dans un match à couteaux tirés, tandis que Toulouse se déplace à Angers. M.H. 

 

Le dernier combat de l'ASAC

 


Vu des Tribunes : l'actualité du Stade de Reims - Rédaction-conception : Michel HAMEL

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