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•  Clermont-Reims : 0-0


Et un qui fait le bon compte !

Un martch sérieux et solide pour les milieux de terrain Bonnal et Baldé. Christian LANTENOIS
 

 


16-04-06 - Bien sûr, il y a toujours l'hypothèse que Clermont où Laval, qui se rencontreront en Mayenne, fasse le plein d'ici le 12 mai pour grimper à 43 unités mais, en prenant son 42e point hier, le Stade a définitivement acquis son maintien. Au terme d'un combat peu spectaculaire.
La première période était à verser au crédit des Clermontois. Après tout, bien qu'ils s'en défendaient, les Auvergnats abattaient leur dernier atout.
Normal donc qu'ils prennent la direction des opérations. Pas toujours suffisamment compact pour déclencher leur pressing, les Blanc d'un soir peinaient. Même si un échange Féret-Boulanger obligeait Uras à intervenir (12e), les situations les plus nettes étaient pour les Grenats animés par leurs ailiers, Tabet et Duplan.

Poteau auvergnat
C'est pourtant en remontant plein axe que Clermont s'offrait l'opportunité la plus nette lorsque Tabet s'enfonça. L'éphémère stadiste s'appuya sur Fouret avant de trouver le poteau. Bien inspiré de ne pas relâcher sa poursuite derrière l'Auvergnat, Didot dégageait (17e).
Dix minutes plus tard, le même Tabet, décalé par Grauss, écrasait sa frappe. Weber intervenait comme il se saisissait d'un tir d'Abdoulaye (41e) et sortait dans les pieds de Fouret (45e). Plus dangereux depuis un tir trop mou de Féret (30e), les Stadistes subissaient.
Pire, au grand dam d'un Thierry Froger qui ne goûte guère à ces épisodes où les siens concèdent autant d'occasions, la troupe de Marc Collat était encore menaçante par Tabet qui devançait Weber mais butait sur Delmotte (45e + 1). Penalty crièrent les locaux. M. Brizou ne broncha pas comme il n'avait pas accordé la sanction suprême à Féret plus tôt. Un partout de ce côté au repos...
A la reprise, le Stade prit position dans le camp adverse. Même si Féret état suivi comme son ombre par l'ancien Castel Abdoulaye, Reims s'offrit la première occasion sur une tête de Baldé. Enjolras claquait (51e).

Attaque inédite

Sa défense, où l'on remarquait la première convaincante de Léonard, étant sereine, le coach rémois prit l'option de profiter de la profondeur dans celle adverse en lançant Farssane et, plus tard, le tonique Elouaari. Option en 4-4-2 qui faillit payer lorsque Bonnal décala Lundblad qui croisa trop sa frappe (61e). Puis Bonnal, au culot, reprit de loin un corner de Féret (74e).
Entre les deux, rien, si ce n'est Clermont qui tira ses ultimes cartouches en appelant Gourvennec et Diomède. Le champion du monde sollicita un Weber sûr de lui (75e).
Avec un attaque new-look Elouaari-Farssane, le Stade déroulait jusqu'au final. Sans frémir si ce n'est sur une poussée de Gourvennec dont le but était annulé pour hors jeu (90e).
Philippe LAUNAY

REIMS: Weber ; Truchet, Léonard, Delmotte (cap), Ielsch ; Bonnal, Baldé, Didot ; Féret (Hebbar, 89e), Boulanger (Farssane, 59e) ; Lundblad (Elouaari, 74e).


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